Les gens du Drot

Drot d'hier et Dropt d'aujourd'hui :
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Sommaire de la page : les gens d'ici - habitat - activités - naissance d'une identité  

Éléments sur les origines des gens du Dropt

En 1927, R. Roques a découvert deux stations préhistoriques près d'Issigeac (à Fontoursines et au Bayle, ce dernier aujourd'hui sous les eaux du lac-réservoir de la Nette) qui lui ont fourni plus de deux cents pièces de silex, bien conservées, nettement typées (Bulletin de la Société Préhistorique Française N°1 - 1929). 
      
Ces silex ont été trouvés au milieu de calcaires désagrégés, vestiges d'abris sous roche rudimentaires. Ils ont pu être datés de l'aurignacien, c'est à dire de 40 000 à 15 000 ans avant J.C.
    De très belles pièces ont été déterrées en de nombreux endroits vers 1950, lors des premiers labours profonds , confirmant la présence de peuplades préhistoriques dans la vallée du Dropt, terrain de chasse ou relais sur un chemin de migration.
    Enfin une sablière au bord immédiat du Dropt (sablière du Carreyrat) a livré de nombreux silex blonds usés, roulés par les eaux (voir collection personnelle ci-dessous).

collection famille R. Roques

collect. personnelle

La région est envahie par les Celtes à partir du Vème siècle avant J.C. Deux peuplades celtiques se fixent de part et d'autre du Drot : au Sud (Haut-Agenais actuel) les Nitiobriges, au Nord (Périgord méridional) les Pétrocores; à l'Ouest (basse vallée du Drot) s'établissent les Vasates.

Au Ier siècle avant J.C, la Gaule est conquise par les Romains. Il reste de nombreuses traces de cette occupation; ainsi en basse vallée du Dropt, des villas romaines se rencontrent de part et d'autre de la rivière en moyenne tous les deux kilomètres.

Au XIIIème siècle, la fondation des bastides de la vallée crée un besoin d' "immigrants" qui viendront de tout le pays compris entre Limousin et Piémont pyrénéen.

 La Guerre de CentAns (1337 - 1453) et la Peste Noire (1347 - 1351) ayant dépeuplé la région, le Roi de France, nouveau maître en Aquitaine, fait appel à des immigrants de langue d'oïl,  les "gavaches", venus de Saintonge, du Poitou et de Vendée. Cette population s'installe principalement dans ce qui sera appelé "la petite gavacherie" (région de Monségur). 
      L'implantation des gavaches ne s'est probablement pas limitée strictement à cette zone : on trouve à Cavarc (canton de Castillonnès) la ferme des "Gabachous", forme occitane de "Gavaches".

Évolution récente du peuplement

L'exode rural entre les deux guerres a été compensé par l'arrivée d'immigrants, surtout italiens, prenant les terres libres en métayage ou en fermage. Cet exode a repris à partir des années 50 par suite de la mutation radicale due à la mécanisation de l'agriculture et la campagne s'est dépeuplée. 
    De nos jours, la région attire par son climat, par la proximité d'un Périgord fantasmé, par l'immobilier à des prix abordables et par un coût de la vie assez bas.

Pays du Dropt ou/or Droptshire ?

   Depuis quelques années, le Périgord étant devenu un marché immobilier pratiquement fermé du fait de la raréfaction des offres, la vallée du Dropt, « marche du Périgord » de sa source à Duras, voit déferler les étrangers (essentiellement anglophones) à la recherche de fermes ou de « maisons de caractère ».
        Cette quête provoque dans la vallée une flambée de l'immobilier et du foncier qui deviennent inaccessibles aux « gens du pays ». Le phénomène a pris une ampleur telle que la presse et la télévision nationales s'y sont intéressées :

 Le journal logo Le Monde du 11 juillet 2003 titre sa page « régions » : « La campagne française prend de plus en plus l'accent british » (il est vrai que, l'été, sur les marchés, l'anglais ou le néerlandais est parlé davantage que le patois local). Et en sous-titre : « Mais un sentiment de rejet, encore diffus, commence à naître ». L'article développe cette question pour la région d'Eymet, c'est à dire justement en «Pays du Dropt » ...
    Ces nouveaux résidents craignent eux-mêmes l'apparition d'un sentiment de rejet.logo Le Monde rapporte les propos d'un viticulteur anglais de St-Julien-d'Eymet : « Mes compatriotes vivent trop en autarcie, et, en acquérant tout le vieux patrimoine, ils ne laissent pas grand-chose aux Français. Je suis désolé pour ce si beau coin qui risque de perdre, peu à peu son côté paysan »...

•  Au début de l'été 2003, logo France3 présente dans l'émission « Des racines et des ailes » quelques exemples d'installation d'étrangers en France, consacrant une moitié de l'émission à ... la région d'Eymet. Le chiffre effarant de 900 anglophones résidant à Eymet (sur 2 700 habitants) est avancé !

logo Le Monde du 12 mai 2004 étudie l'influence des compagnies à bas prix sur la hiérarchie des aéroports français. L'aéroport de Bergerac-Roumanière voit son trafic exploser (il s'agit de la plus forte croissance de trafic pour les aéroports français) :

Trafic 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008
Mouvements de passagers 18 119 15 964 16 124 17 674 16 682 16 379 61 715 115 978 204 009 233 800 269 620 253 791 292 000

 

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Il est à noter que ce trafic passagers consiste essentiellement en vols internationaux (en 2005, 230 360 sur 233 556 !)

Dix liaisons aériennes relient Bergerac au Royaume-Uni : Belfast (via Exeter ou Southampton), Bristol, East Midlands, Edinburg, Exeter, Leeds Bradford, Liverpool, London Gatwick, London Stansted, Southampton (voir carte ci-contre)

Autres liaisons : Pays-Bas (Amsterdam), Belgique (Charleroi)

        Compagnies aériennes : Ryanair, Flybe, Transavia (voir les horaires des vols)

        Avec sa nouvelle piste améliorée de 2 205 m, accessible aux Airbus A320 et aux Boeing 737, l'aéroport de Bergerac a accueilli près de 300 000 passagers en 2008, soit une moyenne de plus de 800 passagers par jour.

•  Le 27 mai 2004, l'Université Montesquieu - Bordeaux IV organise un séminaire sur « Attractivité territoriale et migrations résidentielles ». Ce thème est illustré par différents travaux et par la recherche sur les Britanniques résidant en Aquitaine : en particulier « Localisation résidentielle des Britanniques en Aquitaine, état et fondements » (Mme Gervais-Aguer - Université Montesquieu - Bordeaux IV) et « Intégration et sentiment d'identité des Britanniques en Aquitaine » (Mr David Smallwood - Université Montesquieu - Bordeaux IV). 

•  Les numéros de juillet et août du mensuel Aquitaine News consacrent leur éditorial à ce sujet :
- « Brits like it here ... or leave » (les Britanniques se plaisent ici ... ou partent)
- « Brits mean business » (« Britanniques » signifie « commerce »)

logo Aquitaine News Aquitaine News est le supplément Aquitaine du mensuel French News, seul journal national de langue anglaise en France (French News in English)                                  http://www.aquitainenews.com/

•   Le Monde diplomatique (août 2004) publie un long article (teinté d'humour « so british ») : « Gentlemen et roturiers au pays de cocagne, au cœur de la Dordogne anglaise ». L'intégralité de cet article peut être lu en ligne.

Ces documents permettent de se faire une idée de l'origine et des caractéristiques de cette invasion pacifique :

•  les « Anglais » (terme générique employé par les gens du Dropt pour désigner ces nouveaux résidents, en majorité anglophones dans la vallée du Dropt) sont attirés par la qualité de vie (art de vivre local « à l'ancienne », notion floue largement fantasmée), le climat tempéré, le prix de l'immobilier et du foncier (trois ou quatre fois moins élevé qu'en Grande-Bretagne, dit-on), le charme du vieux patrimoine (il faut porter à leur crédit la restauration et la rénovation de l'habitat, voire la renaissance de hameaux ou de villages abandonnés).

•  Les Anglais sont généralement satisfaits de leur implantation, mais leur intégration se révèle très difficile. La barrière du langage constituant pour la plupart un obstacle insurmontable, ils créent en vallée du Dropt leur propre monde anglophone : les « Maisons de la Presse » leur offrent tous les titres de la presse anglaise, la plupart d'entre eux ne regardent que les émissions de télévision en anglais, l'importance de la colonie anglophone leur permet de créer (trop) facilement des relations  ... avec d'autres anglophones!
    L'intégration reste difficile pour les résidents bilingues (anglais et français) eux-mêmes, en raison  de l'incompréhension culturelle du mode de vie « paysan » local.    
    Rares cependant sont ceux qui retournent « au pays »
    Les commerçants font quelques efforts (intéressés) de communication : amélioration de leur anglais, information bilingue sur les produits, recherche de personnel bilingue.

•   L'impact (surtout saisonnier) sur le commerce local est certain. Un facteur positif pour l'emploi réside dans la création d'affaires par les Britanniques (83 créations en Dordogne en 2003).
Le mensuel « The Connexion - France in English » (numéro de janvier 2009) titre sur une double page « Bergerac Airport : The engine of the Dordogne »

Voir aussi en ligne : Impact économique de l'aéroport Bergerac-Dordogne-Périgord

Mais... actualité 2009 : titre en Une le journal Sud-Ouest dimanche du 11 janvier 2009
et en sous-titre :
« Avec la dépréciation de la livre par rapport à l'euro, les Anglais résidant dans le Grand Sud-Ouest voient leur pouvoir d'achat reculer de 30% : un coup d'arrêt à la poursuite de l'implantation britannique. »

•  Le monde des Lettres s'intéresse à son tour (novembre 2010) à ce phénomène : Jean Claude DELAYRE, écrivain du cru, dont les grands-parents sont originaires de La Sauvetat-du-Dropt, publie en cette fin d'année chez L'Harmattan " l'Anglaise du Dropt " !...

 

Les gens d'ici ...

 "Les Lot-et-Garonnais n'ont pas de traits excessifs, ce qui ne les empêche pas d'avoir du caractère. Ils seraient bons vivants sans être rabelaisiens, hommes de mesure sans être tout à fait flegmatiques, aimant la parole sans verser dans la galéjade. Ils bénéficient d'un passé très riche mais ne manifestent pas un goût exagéré pour leur patrimoine. Ils sont fiers d'être ce qu'ils sont, mais sans chauvinisme".... (ceci s'applique à toute la vallée du Dropt)
                                                                                                                    Pierre Sansot - Confluent - déc 96

    Les gens d'ici pratiquent un art de vivre "à l'ancienne", surtout en milieu rural : art du compromis entre travail et plaisirs (la chasse à la palombe, la cueillette des cèpes sont des priorités absolues), art (et de nos jours privilège) de prendre le temps de vivre, art de la convivialité et de la solidarité.

    Les marchés hebdomadaires, occasion d'échanger des nouvelles, réunissent - toutes affaires cessantes - la plus grande partie des habitants du canton. Il existe une véritable "culture du marché" : les achats se font sur le marché plutôt que chez les commerçants locaux. Pendant la saison touristique, des marchés "fermiers" offrent la production agricole locale.
    Il ne faut pas manquer de se mêler à ces rassemblements pour découvrir "les gens d'ici".

    Les marchés de la vallée

Traditionnels :        
    lundi
: Duras et Miramont    mardi : Castillonnès et Sauveterre de Guyenne    mercredi : Lauzun    jeudi : Eymet et Monpazier    vendredi : Monségur    samedi : Villeréal    dimanche : Issigeac et Bagas
Fermiers (été) :
    mardi : Monségur    mercredi : Biron et Villeréal   jeudi : Duras  vendredi : Castillonnès, Miramont et Villeréal   samedi : Duras    dimanche : Eymet

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Le parler occitan en vallée du Dropt

Les formes dialectales de l'occitan employées dans la vallée du Dropt relèvent essentiellement du languedocien,  l'occitan par excellence, la forme la moins éloignée de la langue classique du Moyen - Âge. La basse vallée du Dropt est influencée par le gascon, une langue à part dans le domaine occitan, spécifique de la rive gauche de la Garonne.

Jusqu'au milieu du XXème siècle, l'occitan (le "patois") était la langue de tous les jours en milieu rural. Les gens du Dropt étaient naturellement bilingues, et il est arrivé que des enfants entrent à l'école primaire sans connaître le français (fait authentique, daté de 1930, en Haut -Agenais) ! 

L'importance du patois dans la communication orale a baissé inexorablement depuis lors, sous l'influence de l'exode rural, du brassage consécutif à la première guerre mondiale, de la pression exercée par les instituteurs, enfin de la radio et surtout de la télévision. Aujourd'hui, le patois est encore parlé régulièrement, en famille ou les jours de marché, par les paysans des générations de la période (élargie) de la guerre 39-45. Le "français parlé" comporte de nombreux mots et tours de phrases empruntés à l'occitan, "francisés",  dont le sens peut échapper au visiteur "étranger"... 


Habitat


L'habitat rural est du type "dispersé" : habitation et bâtiments agricoles (généralement distincts) sont établis sur la propriété même. A l'origine, ces propriétés étaient d'étendue modeste (d'une dizaine à quelques dizaines d'hectares). Ceci donne une campagne saupoudrée de très nombreuses fermes et des bourgs ruraux faiblement peuplés (souvent réduits à quelques foyers).
     Les bastides, dans leur partie centrale, ont conservé leur structure du Moyen-Âge.

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Activités


Le pays a toujours eu une vocation agricole très marquée.
     Naguère, sur ces petites propriétés, la polyculture était la règle et chaque ferme vivait quasiment en autarcie : vin, salaisons, volailles, légumes, fruits, lait, aliments pour les animaux, tout était produit sur place; le pain était échangé contre du blé en grains.
     C'était une "société paysanne" : cellule familiale attachée à l'exploitation, autarcie, monde clos de la ferme,  solidarité (en particulier dans le travail en commun à l'occasion des dépiquages et des vendanges). La paysannerie était vécue comme un état.
   
     Cette situation a considérablement changé ces cinquante dernières années; l'absence fréquente de relève par les jeunes générations a entraîné une diminution du nombre d'exploitations et par là-même une augmentation des surfaces cultivées par exploitant (par achat ou prise en fermage). En même temps, l'agriculture est devenue plus extensive : grandes étendues de blé, maïs, tournesol, soja, etc...

Ici comme ailleurs l'agriculture est maintenant perçue comme un métier, mais cette évolution est vécue comme une nécessité contraignante et "l'esprit paysan" perdure plus qu'ailleurs.
   Dernier avatar de cette évolution :

coordination rurale (été 2001)

Eté 2001 : ce panneau est apparu sur le bord des routes du Lot-et-Garonne...
Quel paysage les paysans nous offrent-ils après des décennies de remembrement, déboisement, comblement de fossés, etc... ?
Le respect du paysage, nouvelle notion patrimoniale ? Les paysans en seront-ils demain les conservateurs ?

    Les cultures traditionnelles (pruniers d'ente, tabac) résistent assez bien et le vignoble est important : sur la frange Nord du bassin supérieur les "vins de Bergerac", dans la région de Duras les "Côtes de Duras", dans la région de Monségur et Sauveterre "l'Entre-deux mers".

    L'industrie, peu importante, est liée à cette économie rurale (exemple : conserveries d' Eymet). Une exception, Miramont : en 1848, Isidore Soussial crée à Miramont le chausson de basane. Cette industrie fut à l'origine du développement d'une très importante industrie de la chaussure, qui a connu ces derniers temps, comme partout en France, des difficultés. Depuis, la vie industrielle cherche à se diversifier (exemple : entreprise Carretier-Robin de fermetures de bâtiments).

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Naissance d'une identité ?


Une unité géographique (bassin de rivière) et une histoire commune (cités de même formation) semblent favorables à la prise de conscience d'une identité. Les obstacles  sont réels, principalement: 

•  une dispersion administrative sur trois départements : Dordogne (24), Lot-et-Garonne (47),Gironde (33)

carte de la vallée

•  une vallée trop modeste et trop proche des vallées du Lot et de la Dordogne, axes importants de circulation des richesses, pour avoir un pouvoir fédérateur;
        •  les bourgs de la vallée sont dans les zones d'influence de cités dynamiques (Bergerac, Sainte-Foy, Villeneuve, Marmande)  sur les rivières voisines (Dordogne, Lot, Garonne), sans oublier pour la basse vallée l'attraction considérable de Bordeaux.

    Il y a toutefois des signes de naissance d'une identité par la multiplication des associations ou sociétés se réclamant d'un label "vallée du Dropt", indépendamment de leur localisation dans la vallée :

•  SHR Vallée du Dropt (Société Hippique Rurale)
•  CE Vallée du Dropt (Centre équestre)
•  Canoë-Kayak Club Vallée du Dropt
•  Groupe local CIVAM Vallée du Dropt/Aquitaine (Centres d'Initiation pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu Rural) 
•  SIVM de la Vallée du Dropt (Syndicat Intercommunal à Vocation Mixte) 
•  "filière soja" de la Vallée du Dropt
•  etc...
•  un folklorique et mystérieux"Front de Libération de la Vallée du Dropt"
•  plus sérieusement, les petits producteurs eux-mêmes affichent sur les marchés leur fierté d'être "de la vallée du Dropt" :

label vallée du Dropt

L' "EARL du Dropt" commercialise ses fraises sous le label "Vallée du Dropt" de préférence au label "Lot-et-Garonne", pourtant 1er département français pour la production des fraises. Le label "Pays du Dropt" fait son apparition...

 label vallée du Dropt   pays du Dropt

Il faut signaler en 1999 les "Premières Montgolfiades de la vallée du Dropt ", rassemblements de montgolfières à Villeréal, Castillonnès, Allemans-du-Dropt et Duras, structurées sur la notion de "Vallée du Dropt". Une extension en 2000 de cette manifestation à des bastides de Dordogne et Gironde a été malheureusement abandonnée en même temps que la manifestation elle-même.

Enfin, il faut saluer la naissance d'une "Association Mixte Vallée du Dropt, Vallée des Bastides" (siège : Mairie 24560 Issigeac). Ont rejoint cette association des bastides voisines du bassin du Dropt : Villefranche-du-Périgord, Beaumont-du-Périgord, Monflanquin et Pellegrue.
        Son rôle est de promouvoir le riche patrimoine médiéval de la vallée, de coordonner les actions et animations visant à le mettre en valeur, et d'inciter le visiteur à le découvrir au fil de la rivière, sur le thème de "l'itinérance " ....
        Cette association a organisé à cet effet en 2001 et 2005 un "Colloque de la vallée du Dropt". L'association a mis en place depuis août 2002 un grand Festival Médiéval annuel itinérant.

    Cette Itinérance Médiévale en vallée du Dropt se tient en 2008 du 7 au 31 août : (info générale

•   jeudi 7 août - BLASIMON (Gironde - 33 540) : programme détaillé - pdf 296 ko
•   vendredi 8 août - LAPERCHE (Lot-et-Garonne - 47 800) : programme détaillépdf 292 ko
•   samedi 9 août - SAINT-FERME (Gironde - 33 580) : programme détaillépdf 256 ko
•   dimanche 10 août - EYMET (Dordogne - 24 500) : programme détaillépdf 232 ko )
•   vendredi 15 août - CADOUIN (Dordogne - 24 480) : programme détaillépdf 224 ko
•   vendredi 15 et samedi 16 août - MONFLANQUIN (Lot-et-Garonne - 47 150) : programme détaillépdf 416 ko
•   samedi 16 août - DURAS (Lot-et-Garonne - 47120) : programme détaillépdf 244 ko
•   dimanche 17 août - VILLENEUVE-de-DURAS (Lot-et-Garonne - 47 120) : programme détaillé - pdf 296 ko
  samedi 23 août - SAUVETERRE-de-GUYENNE (Gironde - 33 540) : programme détaillé - pdf 320 ko
•   dimanche 24 août - St-FELIX-de-FONCAUDE (Gironde - 33 540) «Castrum de Pommiers» : programme détaillé - pdf 260 ko
•   dimanche 24 août - ISSIGEAC (Dordogne - 24 560) : programme détaillé - pdf 312 ko
•   samedi 30 et dimanche 31 août - St-MACAIRE (Gironde - 33 490) : programme détaillé - pdf 672 ko

    Programme complet (pdf 5,28 Mo)

Programme de l'itinérance médiévale

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